N° 180 du 1er septembre 2008
Le FUCR, ensemble des partis politiques et des personnalités
politiques partageant la même vision, la même mission et
les mêmes objectifs pour le Gabon, ne cherche pas à être
un mouvement fantôme. D’où, Léon Obame, Guy-Roger Biwagou
Biwagou, Paul Okili Boyer et leurs amis refusent de jouer aux
hommes invisibles comme le poltron du New Jersey.
Très ambitieux les fucristes dont leur philosophie repose sur la maturité et
la sagesse politique des hommes qui le composent, veulent “Faire
du Gabon le meilleur exemple de Démocratie et de
Développement Socio-économique en Afrique; faire du Gabon
la Voix de l’Afrique a travers le monde”. Ils tiennent donc à :
“La Reconstruction totale du Gabon par Tous et pour Tous”.
Mais pour en arriver-là, ces compatriotes qui ont toute leur tête
entre les épaules et font la politique à des milliers de kilomètres
de Libreville veulent «Conquérir le pouvoir d’état par la voie
des urnes (élections libres et transparentes), instaurer la
démocratie pluraliste, mettre fin à la corruption et au pillage
des ressources naturelles et biens de la nation gabonaise et
promouvoir la bonne gouvernance.» D’aucuns diront c’est du
déjà entendu. A la seule différence de Daniel Mengara ou de
Siméon Ekoga, leur programme politique ne sera jamais Omar
Bongo Ondimba : « Il y a des dossiers plus importants à trai-
ter tels que : le chômage, la santé, l’éducation, la flambée des
prix des produits de première nécessité, le réseau routier, la
lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite et bien
d’autres encore, bref tous les maux qui minent le quotidien des
gabonais.Dans le même sens, nous pouvons citer l’ancien
Président Malien qui disait ceci: “quand les moments sont dif-
ficiles, le temps devient une dimension difficile à gérer”
.Le FUCR est prêt pour 2012: «La voix des Gabonais sera entendue
et leur cause défendue. Le Gabon n’est point une propriété pri-
vée d’un individu ou d’un groupe d’individus avides de pou-
voir.» Mieux, ces compatriotes qui pensent que le pays est dans
l’abîme projettent ceci : «Pour sauver le Gabon du chaos actuel,
le FUCR propose une nouvelle Vision pour le pays, un nouveau
Style de Leadership et un nouveau Système de Management :
“l’Homme qu’il faut à la place qu’il faut et au moment qu’il
faut”.
C’est pour cette raison que le FUCR demande au
Président de la République Gabonaise Omar Bongo Ondimba
trois choses fondamentales pour résoudre l’équation politique
actuelle, avant qu’il ne soit trop tard : la dissolution du gou-
vernement actuel, l’organisation d’un Dialogue inclusif inter-
gabonais (classe politique,société civile et confessions reli-
gieuses) et la mise en place d’un gouvernement de transition à
la manière de “la RDC” (République Démocratique du Congo).»
Transmis à qui de droit.
envoyé par Philippe François Rogandji....correspondant F.U.C.R. à Port Gentil (Gabon)
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